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Passion moto

Mardi 18 mars 2014 à 15:03

 Triumph aura attendu presque une décennie pour redonner une seconde jeunesse à la Trophy 1200. Avec cette nouvelle GT Triumph vise clairement BMW et les excellentes ventes de sa R1200 RT.

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LA TROPHY 1200 est de retour. Après avoir discrètement quitté le catalogue Triumph fin 2003, ce patronyme évocateur revient dans la gamme du constructeur britannique.
Mais que les fans de la première heure ne se méprennent pas. La Trophy 1200 n’est plus une Sport-GT, mais une pure grande routière.
Et ce remaniement s’accompagne d’une montée en gamme au niveau des équipements. Accélérateur électronique Ride by wire, contrôle de traction, cruise control, phares à réglage électrique, poignées chauffantes, ABS avec répartition AV/AR et bulle électrique à mémoire sont de série. La moto profite également du TDLS, un système qui permet à chaque valise latérale de bouger de 5° tout en étant liées l’une à l’autre. Cela permet de minimiser les effets du poids embarqué sur la stabilité de la moto. Une astuce déjà entrevue sur la Tiger Explorer cette année. Si la partie-cycle, inédite, a été développée pour la moto, la Trophy hérite du 3-cylindres en ligne de 1 215 cm3 qui équipe déjà la Tiger Explorer. Légèrement peaufiné, il développe 134 ch à 8 900 tr/min et 12,2 mkg à 6 450 tr/min en version libre. Le sixième rapport « Overdrive » permet d’abaisser le régime de croisière sur autoroute (4 200 tr/min à 120 km/h).
La transmission par cardan a étalement été reprise du gros trail d’Hinckley. Esthétiquement, difficile de s’extasier devant un coup de crayon particulièrement audacieux. La Trophy 1200 ressemble à s’y méprendre à une BMW R 1200 RT. C’est particulièrement vrai lorsqu’on regarde la partie arrière.
Sauf qu’en s'approchant de la moto, on s’aperçoit qu’elle est beaucoup plus volumineuse que sa rivale désignée. On peut dire que si le dessin rappelle la RT, le gabarit la rapproche plus d’une K 1600 GT. Globalement, la qualité perçue donne satisfaction si on excepte le plastique qui recouvre la partie haute du carénage. Le revêtement de qualité médiocre n’est pas valorisant et risque de vieillir rapidement. Vu la générosité du carénage et de la bulle électrique, la protection devrait être au rendez-vous. Des déflecteurs étudiés en soufflerie ont aussi été ajoutés au niveau des pieds et des rétroviseurs pour améliorer la déviation de l’air. Voilà pour ce qui concerne la Trophy standard. Car Triumph a également développé une version SE à l’équipement plus complet. Cette dernière profite évidemment des équipements cités plus haut. Elle y ajoute des suspensions à réglage électronique, déjà disponibles chez BMW et Ducati. Les suspensions peuvent être modifiées selon trois modes d’amortissement (sport, normal et confort) et trois lois de précharge (seul, seul et bagages, duo). Et pour ravir les mélomanes, Triumph a aussi réservé un équipement audio complet à la Trophy SE. La machine est montée avec une radio/MP3 compatible avec les baladeurs (y compris ceux de la célèbre pomme) grâce à une prise USB dans le vide-poches. Il est aussi possible de connecter son appareil comme sur les voitures. Enfin, le volume est synchronisé à la vitesse pour profiter de sa musique sans avoir besoin de jouer avec les boutons en permanence. Disponible en octobre 2012 (en bleu ou en gris argent) dans les concessions, la moto sera présentée à la presse un mois plus tôt. C’est à cette occasion que Triumph annoncera le tarif définitif. Un prix que l’on peut estimer à environ 16 000 € pour la Trophy Standard. La version SE devrait être disponible moyennant un surcoût de 2 000 à 3 000 €. 

Mercredi 1er mai 2013 à 17:59

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Rdv fixé pour 9h30 - 10 h parking de la gare Soissons.
 
- 1er arrivé : Jean François FJR 1300 bleue, un collège de Maestro, qui assurera parfaitement la sécurité de notre sortie. 
 
A 9 h45 , arrivée du 1 er groupe : Tenjed, Foxy, Francois, Maestro et Franky 95 (qui lui aussi assurera la sécu avec sa ... FJR 1300 grise) 
 
10 H , arrivée du second groupe en provenance de Vincennes : Onheit, Vaderetro 91, Ptit Pio, Vincent 94 . Manque plus personne....a si ! :: Triskelly!!!! Qui nous appelle, nous signalant qu'une fuite d'huile le retient à 1 km d'ici dans une station essence. Aussitôt le groupe de 11 motards que nous formons rejoint Triskelle , dont la moto entretemps était réparée! Ouf...... 
 
Sur la sympathique invitation de Maestro nous nous rendons chez lui , où Coco nous attendait pour un ptit' déj' plutot copieux! Nous en profiterons également pour déguster les cookies que nous avait préparer Tenjed !!! 
 
Une fois l'estomac rempli, en route pour Coucy le Chateau , apres avoir grace au WMC régler les détails de sécurité. Nous ne ferons que traverser Coucy , faute de temps (il est déjà 12h30), nous traçons chez moi pour la pause déjeuner. 
 
Vers 14 h 30 nous remontons sur nos machines direction Pierrefonds. 
 
Notre passage fut remarqué lors de notre traversée de la ville (on a épatait avec les gilets jaunes fluo du wmc). 
 
Vers 15 h, quelques gouttes commencent à tomber, nous enfilons par précaution les K-Way (l'averse sera de courte durée, nous n'aurons plus de pluie pour le reste du parcours). 
 
Arrivée à Pierrefonds : lieu de rdv des motards! Nous faisons à pied le tour du chateau, puis nous récupérons Sylvain et sa femme , un treizieme motard (autre collegue de Maestro). 
 
L'heure avancant , je décide d'écourter un peu la balade et de nous rendre en direction de Compiègne en traversant la forêt. 
 
Compiègne : point d'arrivée, où nous nous sommes intallés à une terrasse , pour boire ensembe le dernier pot de la journée! Vers 19 h , chacun repart en plusieurs groupes distincts, reste à chacun environ 3/4 d'heure , à 1 heure de route pour rentrer au bercaille. 
 
THE END! en attendant avec impatience la prochaine sortie moto.

Mercredi 1er mai 2013 à 17:56

 Bon, c'est parti pour ce dimanche pas comme les autres. Oui, pas comme les autres, parce que un reveil calé à 6H et des brouettes, un dimanche, ça tire la couenne 
 
 
7H -5 :
 
Angélique: "tu mets tout de suite ton pantalon K-Way?" 
7H05: 
Ouverture de la porte du parking: la rampe d'accès ruisselle, il pleut. La messe est dite
7H15: 
Vincennes (note: un périph dans cet état, je prend tous les jours!) Nous partons à cinq, sur 4 motos. Onheit et sa Vara, Vaderetro et sa Vara too, wis' et la TL, Angélique et moi sur la Sprint. a priori tout le monde est là, puisque Vincent et Marco partent vers 10H (Kfir n'a pas dû réussir à se lever ) 
7H20: contact, il repleut. 
 
La route: train sénatorial ouvert par les 2 vara. C'est parti pour environ 140km. 
 
"Saleté de totalisateur partiel, tu va défiler oui?????" 
 
La route est ennuyeuse, droite, il fait froid, et la pluie omniprésente. 
 
9H05: sans s'être planté, nous arrivons à triskelly&julie-land. Un transalp se tient sur l'accotement, Kevin et Julie (et une copine, Alixia) sont là pour nous accueillir, ainsi que Tarzoon je crois. 5 minutes après, un FJR se pointe 30 secondes après, un Varadero aussi, mais ils n'ont pas fait route ensemble
 
Café et pain au chocolat pour tout le monde (ça fait du bien, et cela faisait bien 90min que l'on en avait envie...)
 
 
10H: Le chemin des Dames.
 
On part tous tailler un peu la route, en suivant le Chemin des Dames. Cela nous permet de ralier (au sec!) le musée. En fait, il s'agit de la caverne des Dragons. 
 
Il s'agit d'un lieu que, je pense, peu d'entre nous connaissait, et qui fût pourtant, un point stratégique, dans lequel des batailles de la 1ere guerre ont laissées leur empreinte indélébile. 
 
Il s'agit d'un vaste réseau souterrain, dans lequel français et allemands ont même vécu ensemble; tout juste séparés de quelques mètres de pierres. 
 
Si il n'y a qu'une chose à se souvenir là-bas, c'est avec quelle désinvolture on finit par parler des différents assauts qui ont sévi ici: quelques dizaines de milliers de morts par ci, quelques centaines de milliers par là... 15 millions de paires d'yeux se sont fermées sur ce magnifique plateau. Pour grignoter moins de 10 kilomètres de terrain (l'un des derniers panneaux proposés lors de la visite représente les 2 lignes de front, l'une en 14, l'autre en 17: vertigineux). 
 
C'est aussi l'occasion d'avoir un autre regard sur le désastre humain qu'a connu l'armée française, car notre excellente guide nous a vraiment montré comment tout était opposé entre les amateurs et bricolos de français, et la rigueur et l'expertise technique impressionnante de l'armée allemande. 
 
 
13H environ: 
 
grâce à détour triskellinien, nous sommes passé entre les gouttes (sur notre chemin, un épais nuage abattait son averse). séance barbeuc. 
 
"Qui a oublié d'emmener notre Tenjed, diplômé du Texan Master Of BBQ?" 
 
Méchante averse. Mais nous sommes à l'abris, tralalère... ah, tous? Non, car la mère de kevin a reçu un coup de fil: Drozette nous rejoint! Pas de bol pour elle.... 
 
Finalement repus, le dessert est ponctué par un quizz sur Coluche et le JBT. Alors, personne ne connaît les détails sur Coluche, mais par contre, les motos des compères du JBT, si "tout fout l'camp ma bonne dame!" 
 
 
16H environ: distribution des feuilles de route du rallye. 
 
Kevin ayant vu des flics sur la route, en emmenant Wis' faire le plein, nous met sur le road-book par un autre chemin (et oui, Vincent nous a rejoint à 12H45 pour 12H, donc, nous avons craint que les bleus locaux n'aiment pas trop l'appel du Yosh ). 
 
Julie et Alixia viennent également, et font aussi le rallye. Julie décide de bouder la selle du Transalp, et de devenir sourde sur un Bandit (je t'avais dit Vincent, que la selle rembourrée, ça plaît). Alixia elle, pique la place d'Angélique, parce que "elle veut monter sur la moto qu'elle trouve être la plus belle" (sisi, la Sprint, et toc ). Angélique prend donc place sur le pullman, la FJR de Franky95. "Je me suis assise et je n'ai plus bougé: ça bouge pas ce truc!" m'a-t-elle confiée (private: ça change de la Ducati!) 
 
Alors, un rallye, c'est quoi? Un truc qui a ponctué les années 80. Le but est de découvrir une région, tout en répondant à nombre de questions, pouvant être insolites, et des épreuves tordantes. Là, pas d'épreuves du genre ramener une mouche dans une cage d'oiseau, mais les questions sont bien là! Nous le réalisons tous ensemble. Cela va de trouver "ce que anime le Bon amour dans ce village" (Bourguignon-sous-Montbavin), à l'âge de Seraphin (un chat, décédé la semaine dernière). Hélàs, faute de temps, il faudra le tronquer, mais nous nous sommes pas perdu (merci Julie! Une blonde et un Vincent sur la même selle, ça semble bien se compléter ). 
 
 
Fin de soirée
 
20H: les 125 et le FJR repartent. Vincent, Wiz', et moi, partiront 3/4 d'heure plus tard, après nous être un peu reposé et discuté un peu. 
 
22H: tout le monde est bien rentré, nous sommes tous tout cassés. Mais avec plein de souvenirs et de plaisirs. 
 
Voilou 
 

Mercredi 1er mai 2013 à 17:53

 

Depuis mon arrivée sur Rennes en 1999, j'entendais mes connaissances motardes parler de « Porcaro ». Le plus gros rassemblement en France à ma connaissance, organisé par l'Abbé Prévoteau, lui-même motard depuis de nombreuses décennies, qui il y a 12 ans eut l'idée de célébrer un baptême pour tous les pilotes désireux de bénir leur moto.
 
J'avais entendu des échos de toutes sortes sur cette manifestation, Du pour, du contre. L'année dernière Triskelly avait fait le déplacement depuis la région parisienne pour assister à ce rassemblement et après en avoir parlé longuement avec Jean-Michel, alias MPBA56, sur le trajet du VaraDay, je fus convaincu qu'il me fallait bâtir ma propre opinion sur la question. 
 
Le week-end commence en fait le samedi en fin d'après-midi quand la petite commune de Porcaro accueille, à partir de 16 heures, les motards arrivant de toute la France. Pour recevoir tout ce monde, plusieurs champs sont mis à disposition des participants afin d'y planter leur tente et leur bivouac. Le soir, l'organisation Porcaro propose un concert Rythm' and Blues au coté des buvettes et des saucisses - frites !! 
 
Le dimanche matin, la messe de célébration commence à 9 heures pour finir par la bénédiction des motos et des motards à partir de 10 heures 30. 
 
Pour ma part, n'étant pas équipé de tente ni de duvet, j'ai préféré venir le dimanche matin afin de retrouver Jean-Michel (MPBA56), ses frangins (qui roulent en VFR800, CBR1000RR, GSXR1000 ), Kévin (Triskelly) et Julie. La clôture du week-end Porcaro se termine par une balade d'environ 80 Kms à travers la campagne pour rejoindre la commune de Ploërmel où s’achève la journée. Le départ est prévu pour 15 heures, mais dès 14 heures le convoi commence à se former et nous voyons au loin de dessiner un cortége de centaines de motos. L'année dernière, il y avait environ 15000 machines !!! Cette année, espérons que ce record ait été battu. 
 
Le ciel de Bretagne nous est favorable en cette période d'orages d'été. Vers 16 heures donc, la petite troupe décide de se mettre en route et un flot incessant de motos se déverse sur la petite départementale. C'est de la folie !!! Toute la production japonaise, européenne ou américaine est présente !!! Nous arrivons à nous faufiler tant bien que mal. On roule à un train de sénateur... 
 
Nous traversons de nombreuses communes. Des centaines de spectateurs sont amassés sur les trottoirs, nous saluant du motard, applaudissant et filmant le cortége. C'est réellement impressionnant !!!! Je connaissais cette ambiance depuis ma participation aux "Motards ont du coeur" de Rennes mais il faut avouer qu'a Porcaro l'ambiance est bien plus chaleureuse et l'image du motard est bien meilleure. Du moins est-ce l'impression que j'en retire. 
 
Naturellement, il y a toujours des mecs pour se faire remarquer : burns, rupteurs, coupure d'allumage pour faire des flamme à la sortie d'échappement.... Tout ceci à quelques centimètres parfois de la population massée sur le bord des trottoirs. Si certains apprécient peut être, j'imagine que beaucoup peuvent aussi être surpris par un tel spectacle. Je ne parle même pas du moteur de la machine et des conséquences directes et indirectes qui cela peut entraîner. 
 
Nous sommes à mi-parcours. Nous décidons de nous arrêter pour nous reposer un peu, boire quelque chose de frais, refroidir les moteurs qui chauffent... Le bal incessant de motos continue devant mes yeux ébahis. Quand cela s'arrêtera t il ????? Nous repartons 45 minutes plus tard. Il y a toujours autant de machines en circulation et je me demande si certains ne font pas deux tours ) 
 
Ploërmel approche. Un goulet se forme à l'entrée de la ville, on ouvre les blousons, on enlève le casque. Tout le monde a chaud et les mines autour de moi sont réjouies. Qu'il fait bon d'être au milieu d'une communauté motarde !!! 
 
Arrivée sur la place du centre ville, une foule impressionnante se forme autour des bécanes. Il est temps de se dire en revoir et de regagner son chez soi, fatigué mais heureux... 
 
A l'année prochaine... 
 

Mercredi 1er mai 2013 à 17:45

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 ....Dimanche 28 avrilt, soleil de plomb, rendez-vous est pris sur le parking de Lapeyre (pub !!) dans la zone d'activité d'Aubagne longée par la N8. Et comme effectivement il n'y en pas deux, on ne peut pas le rater...
Avant dernier rond-point avant le parking en question, un joli petit bruit derrière moi puis un coup de klaxon: c'est Val et son SV qui rattrape votre serviteur. Tous les deux ponctuels comme jamais, au point d'arriver pile poil en même temps !
 
Les nordistes (Aixois ou assimilés ;-) arrivent en bande un quart d'heure plus tard, menés par Cyr of course. Notre chat noir national, j'ai nommé Jéjé, ferme la route. Nos deux beaux gros cubes encadrent un ptit nouveau TDRiste, Frédéric !
 
Petit passage à la pompe pour nourrir nos montures et c'est parti, direction Gémenos par la même N8.
 
CHAUFFEZ LES PNEUS !!!
 
Le temps de traverser le village en direction du Vallon de Saint-Pons, nous voilà à l'attaque du fameux col de l'Espigoulier par la D2. Heureusement que les machines et leurs pneus commencent à être chauds car ça démarre sur les chapeaux de roues !
 
Le col de l'Espigoulier donc, qui rejoint Gémenos à Plan d'Aups, est une longue (15 kms) succession d'épingles et autres virages serrés. A emprunter donc de préférence en montée comme nous l'avons fait, pour en profiter au mieux. L'hypersportive de Jéjé peine sur la route malgré tout étroite, les trails 125 jouent du sélecteur et font hurler les moteurs très haut dans les tours pour tenir la cadence tans dis que la paire SV/TT s'envole doucement mais surement à l'avant !
 
VOUS AVEZ DIT CHAT NOIR ?
 
Arrivés aux trois quarts de notre ascension, les deux gros cubes de tête s'arrêtent: problème ! Le carénage frontal de Val brinqueballe de façon inquiétante...
 
Heureusement, les yeux de lynx de Cyr finissent par trouver les écrous dessérés responsables, après quelques minutes passées à les chercher partout sauf là il où ils étaient :-). Quelques tours de clés (trousse à outils TDR !) suffisent à rassurer tout le monde sur la suite des évènements, et Val en particulier évidemment...
 
Quelques kilomètres plus loin nouvel arrêt, pour le plaisir cette fois: du sommet du col les riders peuvent contempler le panorama exceptionnel qu'offre l'Espigoulier. Etoile, Garlaban et massif des calanques se déroulent sous nos yeux, jusqu'à la mer... Un point de vue peu connu et unique à ne pas rater !
 
PLAN D'AUPS, ENTRÉE AU ROYAUME DE SAINTE BAUME 
 
Plan d'Aups, petit village au pied de la majestueuse Sainte-Baume, n'offre pas d'intérêt particulier en lui-même si ce n'est qu'on peut s'y restaurer... Par contre la longue ligne droite de la D80 qui longe les falaises du massif une fois passé le village nous amènent à l'Hotellerie, joli bâtiment bénédictin à visiter à l'occasion...
 
Pas d'arrêt pour nous, par contre une fois passée l'Hotellerie nous bifurquons, toujours par la D80, vers Nans-les-pins, autre village emblématique de la Sainte-Baume.
 
De là, nous complétons le tryptique par la dernière (et à mon goût la plus sympathique) étape du périple dans la Sainte-Baume: Saint-Zaccharie (D280 puis N560).
 
GAMBETTA QUOI ?
 
Saint-Zaccharie est l'occasion d'une petite pause "terrasse" sous les peupliers... Val épuisée dès le départ et refroidie par sa petite mésaventure nous abandonnera après ce petit pot bien agréable. Que des boissons raisonnables bien sûr (plus sobre qu'un motard ya pas !).
 
J'en profite pour rappeler aux nordistes (aixois, assmilés, parisiens ou autres) que le Gambetta (re-pub !!!) est un sirop de figue fabriqué à Aubagne qui se boit généralement avec de la limonade (commander un Gambetta-Limonade donc !). C'est frais, sucré juste comme il faut, ça désaltère, ça évite d'enrichir Co*a-cola et en plus c'est bon !
 
Après ce petite intermède fort sympathique (merci Fred !!!), Val nous laisse repartir vers de nouvelles aventures, à l'assaut de la Sainte-Victoire direction Trets cette fois, par la D85 et la D12.
 
LA SAINTE-VICTOIRE EST À NOUS !
 
Entre Saint-Zaccharie et Trets, nous avions espéré aller profiter d'un panorama qui semblait intéressant, quelque part à mi-chemin entre les deux villages... Hélàs, protection incendie oblige, la petite route de Saint Jean du Puy est fermée...
 
Cela ne nous empêche pas de bien profiter des virolos de cette petite route bien sympathique, avant d'arriver à Trets.
 
L'arrivée au village sonne comme un retour difficile à la civilisation: un peu de mal à trouver notre chemin mais le groupe finit par flairer la bonne piste, direction Puyloubier toujours par la D12, pour partir à l'abordage de la Sainte-Victoire pour de bon !
 
Evitant la banale route Cézanne, trop classique et encombrée à cette saison, nous faisons un joli petit détour viroleux (D57b puis D56e pour rejoindre la route Cézanne, alias D17) qui nous amène malgré tout à l'Eco-musée du massif. Sur cette portion peu fréquentée, gare aux gravillons !
 
RE-PAUSE DU GUERRIER
 
L'Eco-musée en lui-même est assez banal bien que pas ininteressant. Il nous a quand même permis de nous poser quelques minutes et de boire un coup à la fontaine (une fois compris son fonctionnement ;-) ). "Accessoirement", il faut avouer que la population féminine de l'endroit n'est pas déplaisante... Conseil aux célibataires: prenez un deuxième casque si vous passez par là !!! ;-)
 
Par contre, n'oubliez pas non plus votre antivol: ressortant du batiment pour retrouver nos montures, nous avons surpris un étrange manège autour de celles-ci... Le temps pour tout le monde de vérifier que tout était à sa place, et pour Cyr de découvrir à ses dépens la panne de son contacteur de béquille, nous étions repartis.
 
Retour sur Aix-en-Provence, rien que du très classique cette fois-ci: route Cézanne (D17) par le Tholonet...
 
RETOUR AU BERCAIL
 
Le groupe se séparera donc dans Aix, à grand renfort de V de la main. Nous aurons quand même eu le temps d'affronter les nombreux sens uniques de la ville, de quoi faire quelques GROS détours... grrrr...
 
Pour Cyr (pas si nordiste que ça finalement ;-) ) et votre serviteur, retour par la nationale jusqu'à Plan de Campagne puis retour respectivement aux Pennes et à Marseille.
 
THIS IS THE END...
 
Au total 200 km pas tout à fait en boucle, mais couvrant un large panorama de l'est et du nord de notre département, au travers en particulier de deux des plus beaux massifs de la région: Sainte-Baume et Sainte-Victoire. A quand la même cordes et baudriers dans les sacoches de réservoir ? ;-)
 
D'ici là bonne route à tous et take care !!!
 

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